Au cours de ces derniers trimestres, la banque a été particulièrement malmenée et le crédit agricole ne cesse de souffrir de quelques pénalités. Selon le constat, ce dernier a connu une baisse considérable ce qui le laisse derrière ses grandes concurrentes. Ainsi, pour pallier un tel désastre, la Société Générale Européenne apporte son aide en lançant un plan de restructuration.
Un recul considérable
Toute action menée pour les crédits agricoles a connu un recul d’environ 6,4 %, révélant ainsi des pertes considérables. Selon le rapport réalisé par les experts Européens, le résultat net du troisième trimestre de l’année 2020 est soldé par une perte d’environ 2,85 milliards d’euros. Ce qui ne fut pas réellement une grande surprise pour les comptables confirmés, car la balance a toujours été très déficitaire depuis l’an 2012. De même, la mise en équivalence de Bankinter révèle une perte de 193 millions d’euros dans le secteur agricole. Comme le font remarquer ces spécialistes, les banques Européennes ont également négligé la réévaluation de leurs dettes qui, en définitive a déjà atteint les 647 millions d’euros. De même, les analystes ont omis de prendre en compte une telle dépréciation qui a engendré un lourd écart entre toutes les activités des prêts à la consommation et les crédits agricoles. Ce recul considérable est aussi dû aux régulations très strictes dont les banques Européennes sont obligées de faire face. Des régulations qui leur imposent de fortes contraintes sur leurs fonds propres et leurs liquidités.
Le crédit agricole Europeen face à ses concurrentes
Il a été constaté à travers le monde que les banques Américaines ne sont pas soumises à des règles strictes, ce qui génère des marges supérieures leur permettant de gérer tous les investissements à leurs guises. Or, pour les banques Européennes, les taux d’intérêt bas ou nuls continuent d’amoindrir leur rentabilité. Ainsi, pour remonter la pente et restructurer le crédit Agricole, tous les établissements financiers Européennes doivent suivre de près la régulation de leur fonds propre et la remise en valeur du faible niveau des taux d’intérêt. De même, il est important de surveiller de près l’évolution des banques en ligne et des géants de télécoms qui offrent des prestations plus prometteuses au détriment des établissements financiers physiques. Enfin, il ne faut pas négliger les impacts négatifs sur la faiblesse des taux du crédit agricole et les intégrations des actifs italiens au risque de s’exposer à une dette publique Italienne.